Témoignages

DRT Louvain-La-Neuve

"La clinique Rosa Parks des droits humains m'a séduite grâce à son aspect pratique et concret. Partant d'une question juridique posée par une ONG, mon memoire revêt dès lors une utilité particulière. Le contact avec l'ONG était aussi très enrichissant et surtout motivant. Ce projet nous permet d'avoir un impact à notre échelle, de mettre à profit nos connaissances et ce dans le cadre de nos études. Participer à ce projet était donc une opportunité unique et à saisir !"  - Salomé, projets 2019-2020

"Je ne me suis pas tournée vers la Clinique de manière innée. En effet, j’avais en tête de travailler dans le domaine de la migration mais je ne savais pas encore si j’avais la réelle volonté de m’impliquer dans un tel projet. J’ai fini par saisir la perche que la faculté me tendait d’avoir une expérience plus pratique dans le cadre de mon mémoire.

Si je peux résumer l’expérience que j’ai vécue durant ces deux années à la Clinique, je dirais qu’elle tient en deux mots : « utilité » et « humanité ». Je ne me suis jamais sentie aussi utile avec ma pratique juridique que par le biais de la Clinique. Non seulement, cette expérience m’a permis d’articuler mes connaissances juridiques avec des autres terrains scientifiques (la pollution atmosphérique autour d’un centre fermé dans le cadre d’un recours au Conseil d’Etat pour ma part), mais en plus, j’ai eu réellement l’impression que mon travail avait des conséquences pour d’autres personnes dans le besoin (ici, les migrants enfermés dans le centre fermé).  [...]

Certes, l’avancée dans ce mémoire n’a pas toujours été des plus simples : la méthode inhérente au terrain pratique de la Clinique rend les conditions de rédaction du mémoire tantôt plus strictes, tantôt plus souples, mais, arrivée tout doucement au bout de cette expérience, je n’en tire que du positif. De plus, le groupe que nous avons formé dès le début entre les étudiants et les encadrants est extrêmement bienveillant, et la confiance qui s’est installée dès les débuts du projet a rendu l’expérience doublement réjouissant. J’ai d’ailleurs dans l’idée de ne pas quitter si vite l’équipe et de continuer de m’intéresser à l’avenir du projet malgré ma sortie de l’université." - Léna, projets 2019-2020

"Le mémoire au sein de la Clinique Rosa Parks m'a appris à travailler d'une nouvelle manière une question juridique en s'en imprégnant par des actions concrètes, avant d'en faire un travail théorique mais basé dès lors sur ma propre expérience et sur celle d'acteurs de terrain. Le défi est d'arriver à orienter notre recherche à travers un fil conducteur et de combiner tous les différents éléments auxquels nous avons été confrontés durant toute l'expérience de la Clinique Rosa Parks. A ce stade, j'ai donc appris une nouvelle compétence qui est celle de savoir réaliser un travail juridique à travers des projets concrets réalisés précédemment, ces derniers étant riches de par leur diversité." - Tom, projets 2019-2020